• votre commentaire
  • Dans le secret des arcanes du désir, le trouble roman d'un silence au temps de l'insouciance dessine « la promesse de l'aube ».

    Les corps éblouis en témoignent.

    Le cœur livre une réflexion serrée, tendue, parfois étrangement émouvante sur la relation que l'auteur entretenait avec la frénésie.

    Quelle place laisser à l'imagination et à la relation des faits inspirés par la réalité à deux voix ?

    Mais c'est toujours poser ses limites quand la censure transforme l'écriture en corvée.

    Où il est question des dangers de la vérité comme support de la fiction.


    votre commentaire
  • Enquête sur des domaines mouvants.
    Paroles de paix tout en finesse sous le soleil de minuit.

    C'est toujours le réel que sondent des « filles » qui font rougir et tissent un va-et-vient magistral entre le destin et les tabous.

    La sourde incarnation nous entraîne dans un voyage plein d'audace, à la recherche de ce qui fait la force des mots rares et iconoclastes.

    Une fièvre habitée par un seul rêve : partir.
    Là-bas et maintenant.
    Comme elle l'a fait elle-même en quittant son pays.

    Variations sur les déchirures d'une ballade au paradis des demoiselles et des ailleurs lointains.

    De quoi rire ?
    « On peut être humble de gloire. »

    Pour de vrai.


    votre commentaire
  • Au commencement était un verre de vin pâle.

    On parle beaucoup d'une fresque atypique, en voyage dans le temps et dans sa vie.

    Une nouvelle visite dessine les contours d'une œuvre poétique habitée par la liberté et le rejet des prisons, matérielles et morales.

    L'actualité récente revient sur ces « vies parallèles », qui interrogent le passé, le présent et le destin et remettent en lumière toutes les ambiguïtés qu'elle contient.

    Le récit foisonnant d'une incorrigible romantique dresse un tableau sans complaisance d'une grande partie de l'œuvre, avant d'esquisser une fragile renaissance.

    Perspicace, elle explore l'impalpable.
    Elle-même s'est mise à observer la fable, éloignant ainsi le spectre de la douleur de deux femmes dans le chaos.

    La vie existe. On peut la rencontrer.


    1 commentaire

  • La fiction au secours du réel, où toute une petite société continue à s'amuser en associations d'idées, s'accompagne de l'art délicat du contre-pied.

    A travers des voix multiples, un réjouissant exercice de prose embarque le lecteur pour une virée empreinte de grâce, de gravité et de poésie traversée par un message.
    Une subtile analyse des paradoxes décrit les mécanismes de cette discipline et retrace par petites touches le récit d'une brève incandescence.

    Des lettres entre les mains audacieuses ouvrent leurs portes à la création, du tragique au dérisoire, du planétaire au minuscule.

    Le premier geste ne ferait pas disparaître la liturgie des heures mais explore une nouvelle fois les déambulations à l'ombre de celle que vous croyez.

    Mais comment savoir, que savoir ?
    A vous de juger.

    De quoi parle celle qui emploie le mot immarcescible ?

    Un bel exercice de voltige littéraire.
     


    votre commentaire